offres d'emploi
Logo Decathlon

Steeve
Riou

Responsable Informatique Decathlon Paris petite couronne

"Mon parcours."

Je suis rentré chez Decathlon le 9 février 2009. C’était un signe, étant donné que mon numéro fétiche est le 9. Et ça n’a pas loupé : entre Decat’, cette boîte bleue et moi, je dirais que ça a vite accroché… En fait, c’est en tant que stagiaire que je suis arrivé sur le magasin de Pau. Après avoir effectué mon stage de vendeur, j’ai embrayé sur un autre stage, mais cette fois en tant qu’assistant responsable de rayon sur le rayon cycle. A l’issue de cette période, je suis parti en Angleterre pour y parfaire mon anglais. A mon retour en France, j’ai réintégré le Decathlon de Pau. J’y suis devenu responsable du rayon montagne. J’ai eu la chance de pouvoir grandir professionnellement au sein de ce magasin, en faisant de belles rencontres, en fêtant de nombreuses victoires, et en connaissant aussi quelques défaites. Gagner souvent, perdre parfois, mais en tout cas toujours oser, c’est ma philosophie. J’ai ensuite été nommé en tant que responsable service client sur le magasin de Mérignac. Pendant 5 ans, j’ai animé une équipe de 30 à 45 personnes suivant les périodes d’activités. Cette équipe était très variée : des étudiants aux profils très différents mais tous passionnés de sports et de sportifs, mais aussi des piliers d’équipe très maitrisants sur leur fiche métier. 5 ans riches, 2 changements de ligne de caisse, 1er sur le financement 2 années de suite (équipe au top), plus de 900 000 sportifs satisfaits… beaucoup de challenges !
Etant passionné de nouvelles technologies j’ai levé la main pour intégrer l’IT. C’est ainsi que je me retrouve ici, aujourd’hui, dans le Nord, au B’Twin Village en tant que Responsable Informatique Decathlon sur Paris petite couronne. Je suis sur ce poste depuis presque un an, et je prends énormément de plaisir.

"Mon job idéal."

Le job idéal ? Peut-être que je l’ai après tout ! Si tu veux ma mort, tu me laisses seul dans un coin, et je décède à petit feu. Il me faut du partage, et divers projets à mener en même temps. Il me faut de l’interaction, de l’échange, et plus il y en a, meilleur je suis. Faire ce qui me plait et être épanoui est le plus important pour moi. Cela se traduit à mon niveau par l’accompagnement des magasins dans la digitalisation. Dans le futur, j’aimerais intégrer la marque Kalenji pour accroître leur notoriété sur les réseaux sociaux destinés sportifs amateurs !

"Ce que je ferais évoluer chez Decathlon."

Une bonne intégration est pour moi une étape primordiale. Pour permettre d’être le plus efficace possible et pour satisfaire le plus grand nombre de sportifs, il faut que nos équipiers puissent avoir les meilleures formations possibles, anticiper les cessions de recrutement, ne pas subir la pression d’un départ imprévu en gardant un vivier de candidats sous la main. Dans un monde où tout va de plus en plus vite et où le temps nous est compté, on se doit malgré tout d’accueillir au mieux les nouveaux Decathloniens.

"Pourquoi je ne suis pas directeur de magasin."

La question qui m’a été posée à plusieurs reprises à mon arrivée au sein de l’IT était la suivante : « Pourquoi n’es-tu pas passé directeur de magasin? » Il y a des combats que j’ai bien mené, d’autres un peu moins, peut-être que je n’ai pas été suffisamment pertinent pour prendre la tête d’un magasin, mais après tout ce n’est pas grave ! Au cours de ces dernières années, j’ai en effet pu accroître mes compétences dans le digital et la communication. C’est ma force aujourd’hui, cela m’a permis de m’intégrer facilement dans mon nouveau service. J’ai une tendance à être sans cesse créatif et ce qu’il y a de bien à l’IT, c’est qu’on a la possibilité d’aller s’aventurer dans des sentiers encore inconnus.
C’est la raison pour laquelle je suis heureux de venir travailler chez Decathlon chaque matin. J’aime mon métier, j’aime ce que je fais, et je suis épanoui. J’apprends au quotidien, et c’est un des critères les plus importants à mes yeux. Pour moi, il faut être dans une enseigne où l’on peut grandir, apprendre et évoluer. J’aime aller de l’avant pour Decathlon, cela ne me fait pas peur. Je suis quelqu’un d’entier, je ne sais pas faire semblant. On ne doit pas vivre sur nos acquis, demain on se doit d’être encore meilleur.

Fichier 15

Sans hésiter, mon alter-ego, Ramin, un collègue et ami franco-iranien qui irradie au sein du service Informatique. Il est bien évidemment plus doué que moi sur la partie technique… C’est mon parrain, celui qui m’accompagne et qui m’aide à grandir professionnellement. C’est mon double et en même temps mon contraire. Quand je suis arrivé à Lille, c’est lui qui m’a immédiatement donné les bons conseils. La particularité, c’est que j’ai la fâcheuse tendance à aller vite à l’essentiel. Il a su avoir les bons mots pour m’aiguiller et me conseiller au mieux. Avoir un parrain présent, qui t’observe et t’analyse, c’est vraiment une force et une aide précieuse au quotidien. Je voudrais vraiment le remercier de m’épauler ainsi.

"Mon collaborateur fétiche."

"Mon client fétiche."

Je ne peux pas citer une autre personne que Franck sourd et muet. Je l’ai rencontré sur le magasin de Mérignac. Il est venu la première fois chez Decathlon pour commander pour son association sportive, un jeu de maillots de football. Malheureusement, l’Atelier a eu un petit souci de flocage. Tant bien que mal, il a essayé de faire comprendre son mécontentement. Je suis passionné par la relation client, et je suis donc intervenu. Moi qui ne pratique pas du tout le langage des signes, nous avons essayé de nous comprendre. La meilleure solution a été d’utiliser le smartphone en s’écrivant des SMS. Après avoir trouvé une solution pour le jeu de maillot, on a co-organisé un match de football, Decath contre ASS Bordeaux ! Depuis ce jour, même si Franck était client régulier chez une enseigne concurrente, il venait très régulièrement au magasin me dire bonjour, et acheter des produits. On a vraiment gardé une relation plus qu’amicale.

"Mon produit coup de coeur."

Je me suis mis à courir de manière régulière il y a maintenant 3 ans. J’ai décidé de faire le premier marathon de Bordeaux. Pour pouvoir faire une bonne préparation, j’ai acheté la Kiprun SD de Kalenji, et suivi le programme d’entraînement 4:15. Elle m’a suivi jusqu’à mon marathon. J’ai fais le premier en 4h13, le deuxième, en 3h47, et mon ambition pour le prochain, sera de descendre en dessous des 3h30. Seul défaut à mes yeux, pas assez de coloris. Pourquoi ne pas pouvoir les personnaliser ? Idée à suivre…

plus d'info sur le produit