“Se tromper” : une compétence en or à valoriser

Dans l’univers professionnel, les erreurs sont souvent mal perçues, synonymes de mauvaise performance ou d'incompétence. Quel dommage car « se tromper » est une formidable opportunité d’apprentissage. Chez Decathlon, on en est persuadé. C’est pourquoi, l’un de nos piliers s’intitule « ose » car nous faisons confiance à nos coéquipiers pour tenter des choses nouvelles tout au long de leur aventure professionnelle. Le droit à l’erreur, nous le revendiquons car il est aussi source d'innovation et de croissance de notre collectif. La preuve.

Le droit à l’erreur : la base chez Decathlon

Se lancer, tomber, réessayer, puis réussir… Voilà une dynamique que l’on aime et à laquelle on croit chez Decathlon : il s’agit du « test and learn ». Concrètement, se tromper, même plusieurs fois, fait partie du processus d’apprentissage. C’est pourquoi, nous encourageons tous les coéquipiers à sortir de leur zone de confort, à prendre des risques et à expérimenter de nouvelles idées. C’est la clé de l’innovation, au niveau collectif, mais aussi du bien-être individuel : une équation gagnante pour l’entreprise. Si tu te trompes, nous allons nous intéresser, de manière constructive, aux raisons qui ont conduit à l’échec pour imaginer avec toi des mesures alternatives. Plus tu testes de choses (test), plus tu apprends (learn) : en apprenant de ses erreurs, on améliore ses compétences et développe une expertise plus approfondie dans son domaine. Tout le monde y gagne. 

Se tromper, c’est bien, mais dans de bonnes conditions, c’est mieux !

Focus sur trois vecteurs du droit à l’erreur chez Decathlon

Un management régi par la l’écoute et la confiance : « Je n’ai pas échoué, j’ai simplement trouvé 10.000 solutions qui ne fonctionnent pas », a affirmé Thomas Edison en parlant de l’invention de l’ampoule électrique. Chez nous, les leaders suivent cet adage en encourageant chacun de leurs coéquipiers à tenter des expériences nouvelles. Pour cela, nous pratiquons le feedback, un cadre bienveillant dans lequel les collaborateurs échangent avec leur leader afin de tirer les enseignements de leurs erreurs mais aussi de leurs réussites. Tous, leaders et membres des équipes, sont donc accompagnés en vue de favoriser la prise d’autonomie. Le droit à l’erreur qui est prôné derrière le « test and learn » est l’affaire de tous.

  • L’innovation comme canal d’expression : innover fait partie de l’ADN de Decathlon, et elle se décline dans les coulisses de la marque, au cœur de laboratoires qui créent, testent, re-testent, dessinent, conçoivent. Il s’agit du Sportslab, des process industriels, du design, de la R&D et des technologies. C’est une véritable chaîne d’innovation qui vibre en interne, à tous les niveaux. On n’hésite pas à faire appel à la co-création en nous appuyant sur la créativité des collaborateurs qui alimentent les équipes de conception. Nous sommes donc à l’écoute des idées, qu’elles fonctionnent ou pas : l’objectif est de les tester, quitte à se « planter », pour mieux recommencer.  
  • Une aventure professionnelle sur-mesure : on parle délibérément d’aventure et non de parcours ou de carrière car on valorise les challenges parfois jalonnés de réussites, mais aussi d’échecs. Nous encourageons donc le mouvement professionnel avec plus de 300 métiers dans 9 filières. C’est toi qui dessine ton propre chemin : et si tu rencontres des difficultés ou des échecs, c’est normal ! On sera là pour t’aider à les traverser. Notre secret ? Plutôt que de partir du poste, nous partons de la personne : on s’adapte en permanence pour la faire progresser. La preuve : 100 % des managers Decathlon sont issus de la promotion interne. Concernant les directeurs de magasin, 25 % sont d’anciens alternants. Alors, prends des risques, évolue, explore des métiers, les opportunités sont à portée de main.

Se tromper : LA compétence à valoriser sur ton CV

Quel enfant n’est pas tombé 10 fois, 100 fois, 1000 fois avant de savoir marcher ? C’est un processus normal et reconnu. Pourquoi ne pas s’en inspirer dans ta candidature en valorisant les mauvaises expériences professionnelles ou personnelles ? Comment faire ? 

  • Sur ton CV, décris cette expérience en question (sport, projet associatif…) : il est important de faire ressortir les apprentissages, comme par exemple le développement de nouvelles compétences.
  • Lors de l’entretien, prépare bien ton discours autour de cette expérience. Il est important de démontrer que tu sais l’analyser et que tu en retires des leçons. Par exemple, cette expérience t’a-t-elle permis de comprendre certains modes de fonctionnement chez toi ? Ou alors, cela a peut-être mis en évidence de nouvelles aspirations professionnelles ? Tu as développé de nouvelles compétences comportementales : l’écoute, l’humilité, l’empathie ? 

Cette prise de recul est une preuve d’intelligence émotionnelle à laquelle nous sommes sensibles.

Alors,
prêt à cartonner ?

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